L’EIMA (École internationale du manga et de l’animation) ouvrira ainsi ses portes en 2016 à Toulouse.

Claire Pélier proposait des cours de manga via son école de loisirs, Toulouse Manga (photos ci-dessous). Avec une demande toujours plus importante, la jeune femme a décidé de passer au niveau supérieur en fondant l’EIMA

Elle comprendra deux cursus : l’un tourné vers les mangas au format papier, l’autre vers les animations vidéos.

Ces cursus seront d’une durée de trois ans minimum, avec une possibilité de spécialisation en 4ème année.

 

Le but de l’école supérieure, l’EIMA, est de faire en sorte que les élèves puissent travailler dans le manga et dans l’illustration, en proposant des enseignements diversifiés. Contrairement aux idées reçues, explique Claire Pélier, pour apprendre le métier de mangaka, il ne suffit pas d’apprendre à dessiner : « Il y a aussi de la scénarisation, des techniques d’encrage, de trame, de rythme propres au manga. Les élèves seront formés à l’illustration, au web manga, tout ce qui est gestion d’entreprise, de comptabilité et aussi les langues [japonais et anglais], pour leur donner la possibilité de s’exporter. »

Le prix à l’année sera de 6 000 euros par an, pour 20 à 25 places par promotion.

 

Toulouse manga

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